Formation et mission

Pendant son apprentissage, sa formation supérieure et la formation continue, « l’alchimiste » moderne acquiert des compétences dans des domaines extrêmement larges :

Sciences naturelles : Chimie, botanique, écologie, physique, anatomie.
Pharmacognosie (connaissance des plantes médicinales)
Pharmacologie (connaissance des médicaments) et pathophysiologie (troubles fonctionnels engendrés par la maladie).
Etude des marchandises : Technique, cosmétique, diététique et alimentation. 
Travaux pratiques de laboratoire : analyses, fabrications.
Toxicologie.

Le droguiste est compétant pour gérer les synergies de substances et la complémentarité des produits, que ce soit en matière de santé, de diététique ou de traitements techniques. Un des points forts de cette profession est l’automédication dont la mission est depermettre le maintien de la santé ou son recouvrement rapide. Sa pratique holistique (qui prend la personne dans son ensemble) permet au droguiste d’intervenir sur les symptômes tout en soignant les causes du mal.

Le droguiste ne travaille pas avec les caisses maladies, son conseil ne grève pas les coûts de la santé car il est gratuit.

Entreprise formatrice

log-form

A déjà formé 8 apprentis

La publicité fausse l’identification des besoins

Le rôle de conseil du droguiste est fondamental. De par ses compétences pluridisciplinaires, il sait décoder les problèmes des clients et adapter le choix des produits aux besoins réels. Le marketing et la publicité faussent souvent l’identification des besoins. Un client vient acheter le produit X dont il a vu la pub. Cependant, après avoir décrit son problème au droguiste, il se verra conseiller le produit Y, bien mieux adapté à sa situation.

Pareil pour les questions de santé : le droguiste est à même de combiner différents principes actifs et traitements spagyriques.